Tu t'souviens ce jour-là tu souriais c'était quoi
C'était comment déjà de l'amour c'est bien ça Mais j'ai tout oublié j'ai perdu ma fierté Il y a bien des années j'ai jeté ma santé Aujourd'hui c'est comment c'est qui déjà pourquoi Ah oui c'est tous ceux-là y a tant d'émoi en moi Comment on fait dis-moi comment baisser les bras J'ai voulu tant de fois j'en ai taché mes draps J'ai vomi j'ai pleuré j'ai voulu tout quitter Mais la vie m'a frappé m'a forcé à rester Alors regarde un peu ouvre bien grand tes yeux Car toi et moi on peut faire tellement mieux J'voulais être un héros pas partir dans l'héro Pourtant c'est ta photo qui m'a rendu miro Alors j'ai tout cassé j'ai sauté j'ai foncé Et la tête baissée je me suis enfoncé Dans un rituel morbide où j'ai laissé ma peau J'ai toujours pas de bide et toujours pas de pot J'ai dû lâcher mon coeur cette bombe d'horreur Et troquer ma rancoeur contre notre fureur
Comment on fait dis-moi comment ça fait déjà D'aimer d'autres que soi de pleurer dans tes bras Comment ça fait des fois de gagner le combat Allez chante avec moi et on s'en sortira
Tu crois être un penseur le sauveur de nos pairs mais ton esprit s’emmêle à chercher toujours plus loin toujours trop près toujours trop vrai toujours plus fin. Tu crois être un vainqueur écrasant l’adversaire mais tes p’tits poings vengeurs s’enfonceront toujours plus fort dans l’innocence bien trop profond garde la cadence. Tu crois être amuseur un comique en public mais quand tes larmes coulent ton sang tourne toujours plus vite toujours moins chaud toujours moins beau toujours plus vide.
Cette nuit j’ai rêvé d’un espoir d’un futur J’ai pensé à ces fées qui m’envoient dans les murs Une larme a coulé de mon coeur dont l’usure N’est même plus cachée par certains mots trop durs Ton sourire masquait tes sombres idéaux Et dans tes bras j’avais le rire des ados Ta peau ton souffle étaient pour moi de vrais cadeaux Violence du passé je me mettrais à dos La Terre entière ou plus pour toi pour tes beaux yeux Pour que ton coeur refuse un arrêt ennuyeux Mais vous êtes Méduse et j’ai beau être envieux Pour que tes dents me sucent le sang ou le mieux Je peux toujours courir j’ai craché sur ma chance Qui des deux va mourir qui des deux a l’aisance De gagner son empire ou bien l’outrecuidance De garder le sourire en guise de violence Vos mots passés me hantent je sombre j’exulte Tu as jeté la mante qui t’était insulte Offense que je mente si tu es inculte Ouvre l’âme démente à qui tu voues un culte
25 septembre 2017.